10.12.24 retour

Accès au Runway pour le X100VI avec Nick Soland

Dans l’atmosphère animée de la Semaine de la mode de Paris, où une œuvre d’art inimitable et éphémère naît à chaque seconde, Nick Soland, photographe expérimenté spécialisé dans la mode et la publicité, a misé sur le X100VI. Il est suffisamment petit pour travailler sans se faire remarquer, mais suffisamment performant pour saisir des instants particuliers. Nicc Soland raconte ici pourquoi cet appareil a su le convaincre.
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Nick Soland

Nick Soland commença sa carrière en 2013 et se spécialisa rapidement dans la photographie de mode et la photographie publicitaire. Fort de nombreuses années d’expérience et de sa passion pour une photographie innovante, il fonda en 2024 l’entreprise «House of Impact». Depuis plus d’une décennie, il fait confiance aux appareils photo Fuji. C’est le système Fuji GFX qui l’accompagne lors de ses séances photo publicitaires, et pour le travail en coulisses, il choisit le système X.


De la Suisse aux défilés parisiens

La Semaine de la mode de Paris n’est pas seulement le terrain de jeu des créateurs et couturiers, elle est aussi mon terrain de travail créatif. Outre mon GFX100s de FUJIFILM, j’avais dans mes bagages le FUJIFILM X100VI, un deuxième appareil versatile. Dans cette ambiance agitée et nerveuse, je voulais surtout avoir un appareil qui soit compact, léger et facile à manier. Le X100VI était parfait pour cela. J’ai pu le mettre sans problème dans la poche de ma veste ou de mon pantalon, sans être gêné par son poids au fil de la journée. Il s’est avéré être un appareil fiable et il a fait ses preuves lors des séances et des prises de vue en coulisses. Le convertisseur grand angle WCL et le téléconvertisseur TCL ont rendu l’appareil plus polyvalent encore pour moi. Dans les coulisses, les conditions d’éclairage sont imprévisibles, et j’étais bien content que le X100VI tienne la route sans problème.

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Le facteur «forme» et ma première impression

Quand j’ai pris le X100VI en main pour la première fois, il m’a semblé plus lourd, Lorsque je l’ai comparé directement avec le X100V toutefois, je n’ai plus constaté de différence. Le facteur «forme» est visuellement identique. La poignée sur le côté droit semble cependant avoir une meilleure préhension encore que sur le X100V, ce qui souligne la manipulation agréable du X100VI.

Stabilisation d’image: finies les prises de vue floues

Le stabilisateur d’image intégré m’a beaucoup aidé dans les conditions souvent incontrôlables que l’on rencontre dans le cadre de la Semaine de la mode. Il détecte les moindres mouvements de l’appareil et sait les compenser de manière probante. Cela m’a rendu plus audacieux aussi, j’ai parfois choisi pour les sujets statiques une vitesse d’obturation plus lente. En mode vidéo aussi, c’est là un facteur décisif qui m’a vraiment séduit.

Un processeur et un capteur améliorés

Pour moi, le nouveau processeur et le nouveau capteur ont été les points forts de l’amélioration de l’appareil. J’ai pu faire de nombreuses prises de vue que j’aurais manquées sinon avec le X100V. Grâce à la résolution plus élevée, j’ai pu faire de nombreuses photos à partir du même angle de vue que l’image de départ. La possibilité de recadrer ultérieurement une partie de l’image au format vertical à partir d’une photo au format horizontal me donne une grande souplesse et beaucoup de libertés dans mon travail, ce que j’apprécie beaucoup.

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Foto: Nick Soland (GFX100S), Model: Céline Müller

Repérage de motifs optique ou numérique avec le viseur hydride

Pour moi, le viseur hybride est particulièrement intéressant dans les situations où je n’ai qu’une occasion unique de saisir un motif. Je décide à chaque fois sur le vif si j’utilise le viseur optique ou le viseur électronique. Étant donné que je peux regarder par le cadre dans le viseur, j’ai toujours une avance sur un motif potentiel et je le vois sans décalage. Au reste, je photographie presque toujours avec le viseur numérique, car il est très agréable de voir directement à quoi ressemblera la photo.

La souplesse en point de mire : une grande plage de zoom pour plus de libertés

Pour le repérage de sites en particulier, un point positif que j’ai particulièrement remarqué est le zoom numérique à trois niveaux. Avec X100VI autour du cou, je pouvais simuler sans problème des focales de 35mm, 50mm et 70mm et je n’avais donc pas besoin de m’encombrer de beaucoup de bagages pour la recherche de sites. Cette fonction est idéale pour pouvoir se déplacer librement et saisir facilement des perspectives différentes. C’est vraiment bien!

Très clairement, ma recommandation: emporter toujours le X100VI de FUJIFILM

D’un point de vue rétrospectif, l’environnement de la Semaine de la mode de Paris fut un défi pour mon travail créatif. Pouvoir me fier alors au X100VI a renforcé une nouvelle fois ma confiance dans FUJIFILM. L’autofocus plus rapide et le stabilisateur d’image du X100VI m’ont totalement convaincu, à toutes les prises de vue. Ces deux propriétés font que – la décison n’a pas été difficile à prendre – lors de la prochaine Semaine de la mode, j’aurai dans tous les cas un X100VI en appareil accessoire dans mes bagages. Il est parfait pour «l’emporter partout», et je suis certain qu’il m’accompagnera à nouveau bientôt.

Je recommande le X100VI à toutes et tous les photographes qui recherchent un appareil compact et léger. C’est l’appareil d’appoint ou plutôt l’appareil accessoire idéal, que l’on peut emporter sans avoir besoin d’y réfléchir. L’amélioration que je souhaiterais pour le X100VI? Une autonomie plus longue de la batterie. J’avais certes toujours trois batteries dans mon sac, mais au cours de la journée je n’ai jamais épuisé complètement la deuxième batterie.

Photos & Texte: Nick Soland

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